Cet été sera chaud, très chaud.. Viens donc te désaltérer avec une noix de coco sous les palmiers pour célébrer la fin de la période estivale : le Coconut Festival t’invite à voyager le temps d’un instant sous une chaleur tropicale, du 7 au 10 septembre prochain.
Credit photo : Thomas Bertini
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« On s’est beaucoup amusé. A la base, Coconut Music ce sont des copains de lycée qui se retrouvaient et organisaient des concerts. Il y a vraiment une histoire de fraternité ». Coconut Coconut est l’air que tu chanteras à tue-tête l’été prochain. Voilà maintenant dix ans que cette association créée par une bande de potes a vu le jour. Allez viens avec nous, on t’emmène rêver, voyager dans cet univers complètement décalé !
Vous sentez ça ? Cette atmosphère tropicale, sauvage, mais à la fois paisible et tranquille… Voici toute la particularité de cet événement atypique qu’est le Coconut festival. Véritable atelier d’expérimentation, ce festival a éveillé en nous des sensations jusque-là oubliées. Il sonne comme un goût de liberté, lorsque ta tong entre en contact avec le sol du jardin de l’Abbaye aux Dames. Véritable spot que tout festivalier qui se respecte recherche.
Tout a commencé dans la ville de Saintes, sur les bancs du lycée. Ce festival, initié par Amaury Ranger, le programmateur, a connu un réel succès ces dernières années. A la base il n’y avait rien d’artistique, le but était juste de proposer au public un événement jamais vu à Saintes. Au fur et à mesure du temps, les amitiés ont fait que le festival a vu le jour puis évolué. Mais pourquoi donc l’avoir surnommé Coconut festival ? « Par goût de l’exotisme ! On avait dix-neuf ans, on était jeune et libre » raconte Yann Baradeau qui gère la communication de l’association.
Mis en place pour accueillir des artistes et leur servir d’appui, le Coconut était un moyen d’offrir aux groupes invités un cadre légal. Pour financer leur première édition, une bourse pour jeunes talents les a épaulés. La première session a plutôt bien marché avec 200 spectateurs aux compteurs. « On est parti de rien. Petit à petit, la mairie nous a aidé. Si par exemple on te finance, mais que tu fais n’importe quoi à côté, évidemment ça ne marchera pas.. C’était vraiment une relation basée sur la confiance. »
Les murs du Taquets se souviennent certainement de leurs débuts. « On a commencé par organiser des événements dans une cave à Saintes, plutôt de manière illégale… Ouais non, en fait c’était totalement illégal ! » s’exclame Yann Baradeau. L’idée de trouver une plus grande salle s’est donc posée. Histoire d’offrir un autre cadre aux artistes et aux publics. C’est alors qu’on leur fait une proposition pour la salle Geoffroy Martel. La Coconut party est née ! « On s’est remis à la décorer. Des concerts en partenariat avec l’abbaye aux dames ont eu lieu. De fil en aiguille, l’idée est venue d’organiser un festival. C’est alors que Victor Crespi, l’administrateur de l’asso, nous à rejoint » explique Yann Baradeau
La team a voulu organiser un événement à son image, quelque chose de libre et d’innovant. Pour les mélomanes, le Coconut festival a pensé à tout. Une multitude d’artistes, tout genre confondu, était au rendez-vous. Des invités de marque tels que Metronomy, Flavien Berger, A-Wa et bien d’autres ont répondu présent. Une programmation orchestrée par Amaury Ranger qui nous fait découvrir ses coups de cœur, et nous propose une programmation qui défend la scène nationale tout en s’autorisant de beaux écarts internationaux. En effet, des artistes venant d’Afrique du Sud, Nouvelle Zélande, Australie, Royaume Uni ou Inde on déjà fait le déplacement. Une occasion pour les festivaliers de découvrir des petites pépites parfois inconnues du grand public. Une bonne leçon de partage : « On n’a pas vraiment de style particulier, on marche beaucoup au coup de cœur. C’est difficile de décrire notre ligne artistique. Ce sont des personnes que l’on a envie de mettre en avant et de défendre artistiquement » explique Yann Baradeau.
Viens groover au rythme de la musique, l’ambiance y est joviale, familiale et bon enfant. Des parties et activités gratuites sont également proposées aux différents publics. Le festival a accueilli environ 1150 spectateurs l’année dernière. Le Coconut c’est une famille, avec un public qui se fidélise chaque année. L’ambiance y est vraiment sublime. Le festival ne serait pas le même sans l’aide du régisseur, Simon Bernard. Une scénographie des plus simples est mise en place. Des créations artistiques sont faites manuellement par les membres du Coconut. « On avait envie de donner une cohérence entre la musique et la scénographie. L’Abbaye aux Dames est déjà un lieu extraordinaire. » nous dit Yann Baradeau. Contrairement aux autres festivals, le Coconut permet de te relaxer, d’être « pepouze » sur ton transat. « On a vraiment envie de développer ça plutôt que de ramener un max de monde. » explique Yann Baradeau.
J’ai hâte de connaitre la programmation 2017
Bonne préparation à l’équipe Coconut
Faites vous plaisir en nous faisant découvrir de nouveaux artistes ………
C’est insupportable.
organiser une tel bordel en centre ville pendant 3 jours 24h/24.
Filer du fric pour pourrir la vie des habitants alors qu’il y a des tas de stade ou d’ endroits adaptés …ça sent la grosse magouille à plein nez.
ça valait le coup de changer de maire…on prend les mêmes et on recommence.
Délinquences…drogues et alcools…la seule sécurité est que les malfaisants peuvent hurler tranquilles, protégés par des centaines de décibels…